Élections provinciales : Ecolo BW présente ses priorités et ses candidat·es !

Publié le 16 septembre 2024
Rédigé par 
tricotsi

A un mois des élections communales et provinciales, Ecolo Brabant-wallon présentait à la presse ses priorités et ses candidat·es.

Nous avons l’envie et l’énergie de défendre une écologie populaire et positive, de peser dans les décisions en faveur d’une province pour grandir, c’est-à-dire, se transformer, évoluer et s’épanouir. Un Bw respectueux des besoins de ses habitant·es, de celles et ceux qui y vivent et y travaillent. Un BW conscient de la nécessité de protéger et de favoriser l’environnement. Nous sommes convaincus qu’en tenant compte du facteur humain et du facteur environnemental, nous pouvons améliorer collectivement notre territoire provincial.

Nos priorités

1. La nature est notre alliée !

   Elle nous nourrit, nous protège contre les inondations, nous rafraîchit lors des épisodes caniculaires, redonnons-lui sa place

La nature est notre alliée depuis l’aube de l’humanité. Elle est notre source de vie, de subsistance, et de bien-être. Pourtant, dans notre quête de modernité et de progrès, nous oublions souvent que la nature nous offre tout ce dont nous avons besoin pour prospérer. L’eau que nous buvons, l’air que nous respirons, la nourriture que nous consommons, tout provient de la nature. Elle nous entoure, nous soutient et nous protège, souvent sans que nous en ayons pleinement conscience.

Les forêts, par exemple, jouent un rôle essentiel dans la régulation du climat. Elles absorbent le dioxyde de carbone, purifient l’air et fournissent l’oxygène vital à notre survie. Les océans, eux aussi, capturent d’énormes quantités de carbone et génèrent une partie importante de l’oxygène que nous respirons. Même les formes de vie les plus petites, comme les abeilles, sont indispensables à notre écosystème : leur pollinisation assure la croissance de nombreuses cultures dont nous dépendons.

En plus de nous fournir des ressources, la nature nous enseigne l’équilibre et la résilience. Elle est un modèle de coopération, où chaque être vivant, de la plus petite bactérie aux plus grands prédateurs, a un rôle à jouer dans l’harmonie globale de l’écosystème. Lorsque nous comprenons que nous faisons partie de cet équilibre, nous réalisons que protéger la nature revient à nous protéger nous-mêmes.

Aujourd’hui, face aux défis environnementaux que sont le dérèglement climatique, la déforestation, et la perte de biodiversité, il devient évident que la nature n’est pas simplement un cadre de vie, mais notre plus précieuse alliée. En prenant soin d’elle, en adoptant des pratiques durables et en respectant ses cycles, nous assurons non seulement notre survie mais aussi celle des générations futures.

Reconnaître la nature comme une alliée, c’est rétablir le lien fondamental que nous avons avec elle. C’est apprendre à écouter ses besoins, à respecter ses limites et à vivre en harmonie avec elle. Lorsque nous faisons cela, nous ne nous contentons pas de préserver l’environnement, nous créons un avenir où l’humanité peut prospérer aux côtés de la nature, main dans la main.

À la Province, nous voulons notamment mettre en œuvre le maillage écologique. Les services provinciaux ont identifié plusieurs dizaines d’actions à réaliser pour créer les conditions de la préservation de la nature. Il s’agit maintenant de concrétiser ce maillage et cela nécessite de prioriser les actions et de prévoir les budgets pour les réaliser. Nous voulons que la Province se donne les moyens financiers suffisants pour ce maillage vert et bleu. C’est un investissement qui est bénéfique à court, moyen et long terme pour toutes et tous.

2. Une économie prospère et juste !

Elle préserve les ressources humaines et environnementales tout en répondant aux besoins des artisans et entrepreneurs… et des habitants. Soutenons une économie durable et aidons la transition

Développer une économie prospère et durable est aussi un enjeu majeur. La croissance économique s’est souvent faite au détriment de l’environnement, des ressources naturelles et parfois des équilibres sociaux. Aujourd’hui, il est nécessaire de repenser notre modèle économique pour allier prospérité, respect de l’environnement et équité sociale. Une économie durable ne se contente pas de générer des richesses à court terme ; elle cherche à créer une croissance qui est tenable dans le temps tout en préservant les ressources pour les générations futures.

L’idée d’une économie durable repose sur plusieurs piliers.

D’abord, l’utilisation responsable des ressources naturelles. Notre planète a des limites en termes de ressources et de capacité à absorber la pollution. La surexploitation des matières premières, comme les combustibles fossiles, l’eau et les forêts, menace la biodiversité et déstabilise les écosystèmes. Une économie durable doit promouvoir des pratiques qui respectent ces limites, en favorisant les énergies renouvelables, la réduction des déchets et le recyclage.

Ensuite, il est essentiel de réorienter la production et la consommation vers des modèles plus responsables. L’économie linéaire, fondée sur le schéma « extraire, produire, consommer, jeter », doit laisser place à une économie circulaire. Ce nouveau modèle vise à réduire le gaspillage en réutilisant les produits, en les réparant, et en recyclant les matériaux. Par exemple, les entreprises peuvent concevoir des produits durables et modulables, limitant ainsi leur empreinte écologique tout en offrant de nouvelles opportunités d’affaires.

Le développement technologique joue aussi un rôle crucial dans cette transition. L’innovation peut permettre de réduire l’impact environnemental des processus industriels, tout en augmentant l’efficacité des ressources. Les technologies vertes, comme les énergies solaires ou éoliennes, la mobilité électrique et l’agriculture de précision, sont autant de leviers pour créer une économie plus respectueuse de l’environnement tout en stimulant la croissance.

L’économie durable ne se limite pas à l’aspect environnemental. Elle inclut également une dimension sociale, pour réduire les inégalités et garantir un accès équitable aux ressources et aux opportunités économiques. Le développement durable implique la création d’emplois décents et un cadre de travail respectueux des droits humains. Une économie durable veille à ce que la prospérité soit partagée, en encourageant l’inclusion, l’égalité des chances et la justice sociale.

Trois éléments pour activer la transition : les pouvoirs publics qui doivent l’inciter grâce à des subventions pour les technologies vertes ou encore des normes strictes sur les émissions de CO₂. Les entreprises, en intégrant les principes de durabilité dans leurs stratégies et en adoptant des modèles commerciaux responsables. Enfin, les citoyens ont également un rôle central en orientant leur consommation vers des produits plus respectueux de l’environnement et éthiques.

Développer une économie prospère et durable est un projet ambitieux, mais essentiel pour répondre aux défis actuels. Il ne s’agit plus de choisir entre croissance économique et préservation de la planète, mais d’intégrer ces deux dimensions dans une vision harmonieuse de l’avenir. En adoptant des pratiques durables, en innovant et en promouvant l’équité sociale, nous pouvons construire un modèle économique qui profite à tous, aujourd’hui et demain. Cette transition, bien que complexe, offre également de formidables opportunités de croissance, d’emplois et d’innovation, pour peu que nous ayons la volonté collective de l’entreprendre.

Dans la province du Brabant wallon, nous disposons de BW2030. Un outil qui rassemble 4 opérateurs influents : la Province, l’UCLouvain, in BW et Invest BW.

C’est une merveilleuse opportunité pour ré-orienter notre économie.

3. Un territoire pour nos aînés !

Une offre sociale et culturelle qui leur corresponde et leur permette de s’épanouir quelle que soit leur situation. Protégeons, soutenons et accompagnons-les.

Répondre aux besoins spécifiques des aînés va bien au-delà des simples structures de soins ou d’accueil. Cela nécessite une approche globale qui inclut la santé, le bien-être, la sécurité et l’inclusion sociale. Il y a lieu de repenser l’aménagement du territoire, les infrastructures, et les services pour le bien-être, l’épanouissement et l’autonomie des seniors de plus en plus nombreux et nombreuses en BW.

 Un territoire accueillant pour les seniors doit encourager leur participation à la vie sociale et leur permettre de se rendre facilement dans les espaces publics, les commerces, les lieux de loisirs, ou encore les centres médicaux. Trottoirs sécurisés, transports en commun adaptés, rampes d’accès et ascenseurs sont autant d’aménagements qui permettent aux aînés de se déplacer en toute sécurité et de rester autonomes. La mobilité et l’accessibilité sont  donc des facteurs clés de l’autonomie. Il est  dès lors impératif de réduire les obstacles qui pourraient limiter les déplacements des personnes âgées.

Un territoire pour nos aînés doit également offrir des services adaptés, qu’il s’agisse d’accompagnement administratif, d’accès à des activités culturelles ou de loisirs, ou encore de soutien psychologique. Les services publics doivent être accessibles et simplifiés, avec un personnel formé pour répondre aux besoins spécifiques des personnes âgées. Des initiatives comme des plateformes de bénévolat ou des réseaux de solidarité locale peuvent également contribuer à renforcer l’entraide et l’accompagnement des seniors, en particulier celles et ceux qui sont isolés.

Les espaces publics jouent également un rôle crucial dans le bien-être des personnes âgées. Parcs, jardins, et lieux de rencontre intergénérationnels doivent être conçus de manière à favoriser la détente, le contact avec la nature, et les interactions sociales. Ces espaces doivent offrir des bancs, des zones d’ombre, et des lieux sûrs où les aînés peuvent se reposer et socialiser. Le contact humain est un aspect essentiel pour lutter contre l’isolement, qui est l’un des grands défis auxquels sont confrontés bon nombre de seniors. En favorisant les interactions entre les générations, nous créons des territoires plus inclusifs et solidaires, où les aîné·es peuvent partager leur expérience et maintenir des liens avec leur communauté.

La santé et le bien-être des aîné·es doivent être au centre de toute politique territoriale. Cela passe non seulement par des soins médicaux de qualité et accessibles, mais aussi par une prise en charge globale qui inclut la prévention, l’accompagnement psychologique, et les activités physiques adaptées. Des centres de santé de proximité, des services de soins à domicile, et des programmes de prévention contre les maladies chroniques permettent d’assurer que les personnes âgées restent en bonne santé et actives le plus longtemps possible. Encourager des activités physiques douces, comme la marche ou des exercices spécifiques pour seniors, peut également prolonger leur autonomie.

En parallèle, il est indispensable de repenser les logements pour qu’ils soient adaptés aux besoins des aînés. De plus en plus de personnes âgées souhaitent vieillir chez elles, dans un environnement familier. Il est donc crucial de développer des solutions d’habitat évolutif, avec des logements accessibles, sécurisés et faciles à entretenir. Cela peut inclure des adaptations comme l’installation de douches à l’italienne, de barres de soutien dans les salles de bain, ou de systèmes de surveillance pour prévenir les chutes. Des formes d’habitat innovantes, comme les résidences intergénérationnelles ou les écoquartiers pour seniors, peuvent également offrir un cadre de vie enrichissant, tout en répondant aux enjeux de solidarité.

Enfin, il est crucial d’impliquer les personnes âgées dans les décisions qui concernent leur cadre de vie. Trop souvent, les politiques publiques sont conçues sans leur consultation directe, alors qu’elles sont les premières concernées. Les aîné·es possèdent une expérience précieuse et des perspectives uniques sur les défis qu’ils rencontrent au quotidien. En leur donnant une voix active dans l’aménagement des territoires et dans les projets communautaires, nous pouvons nous assurer que leurs besoins sont véritablement pris en compte et que les solutions mises en place sont adaptées et efficaces.

Un territoire pour nos aîné·es est un territoire où chaque personne, quel que soit son âge, trouve sa place. Il s’agit de créer des environnements inclusifs, accessibles et adaptés, qui permettent aux personnes âgées de rester autonomes, en bonne santé et connectées avec leur communauté. Investir dans des infrastructures adaptées, des logements évolutifs, des services de qualité et des espaces intergénérationnels n’est pas seulement un devoir moral envers nos aînés, c’est aussi un investissement dans une société plus solidaire, plus humaine et plus durable.

A la Province du Brabant wallon, nous développerons une politique ambitieuse et coordonnée (aussi nommée Silver Economy) pour nos aînés, avec des moyens adaptés.

Plusieurs projets de logements partagés et solidaires pour aînés ont été refusés ces dernières années.  La Province n’a pas joué son rôle pour faire aboutir ce type de projets.  Pour certains, les aînés ne sont qu’une variable budgétaire.

4. Une province qui insuffle le dynamisme et qui aide les communes !

Une province qui incite les communes à mener des politiques et des projets communs, qui les aide à se coordonner et leur permet de réaliser de solides économies. Aidons-les à mieux vous aider !

La supracommunalité, qui consiste en une collaboration entre plusieurs communes autour de projets d’intérêt commun, permet de mutualiser les moyens et de renforcer l’efficacité des politiques locales.

Le dynamisme d’une province se traduit par sa capacité à identifier les besoins spécifiques de chaque commune, qu’il s’agisse de communes rurales, urbaines ou périurbaines, et à proposer des solutions adaptées. Grâce à son envergure et à sa capacité à coordonner les efforts entre plusieurs collectivités, la Province devient un acteur clé dans la mise en œuvre de projets de grande ampleur qui seraient difficiles à réaliser pour une commune seule.

La Province agit aussi comme un facilitateur pour la mise en place de politiques publiques innovantes. Elle soutient les initiatives locales, favorise les échanges de bonnes pratiques entre communes et encourage l’émergence de projets collectifs. Par exemple, dans le domaine de la transition écologique, la Province peut accompagner les communes dans la mise en œuvre de projets de mobilité durable, de production d’énergie verte ou de gestion des espaces naturels protégés. Grâce à une coordination à l’échelle supracommunale, il devient possible de planifier des stratégies plus ambitieuses, comme le développement de réseaux de transports en commun ou la construction d’infrastructures énergétiques partagées (fermes solaires, éoliennes).

L’un des grands avantages de la supracommunalité est également la rationalisation des services publics. De nombreuses petites communes n’ont pas les moyens de financer certains services seuls. En mutualisant les ressources à l’échelle supracommunale, la Province permet d’assurer une continuité et une qualité de service, même dans les zones les plus reculées. Cela permet de garantir une égalité d’accès aux services pour tous les citoyens, quels que soient leur lieu de résidence, leur âge ou leur situation sociale.

Un autre aspect essentiel est le soutien technique que la Province peut offrir aux communes. Beaucoup de petites communes manquent de personnel qualifié ou de ressources pour gérer des projets complexes, comme des travaux d’infrastructure ou des programmes de développement économique. La Province, avec ses équipes techniques et administratives spécialisées, peut apporter une expertise précieuse. Cela permet aux communes de bénéficier d’un accompagnement de qualité pour réaliser leurs projets tout en évitant les surcoûts et les erreurs de planification.

En parallèle, la Province joue un rôle clé dans la coordination de la planification territoriale. Grâce à une approche supracommunale, il devient possible de concevoir des schémas d’aménagement cohérents qui prennent en compte les besoins spécifiques de chaque territoire tout en veillant à un développement équilibré. Par exemple, dans le cadre de la gestion de l’urbanisme, la province peut veiller à une répartition harmonieuse des logements, des espaces verts et des infrastructures de transport, en évitant la surdensification ou la désertification de certaines zones.

Une province qui insuffle le dynamisme et aide les communes grâce à la supracommunalité est une province qui sait allier coordination, innovation et solidarité territoriale. En favorisant la coopération entre les communes, en mutualisant les ressources et en apportant un soutien technique, la province permet aux collectivités locales de mieux répondre aux défis contemporains, qu’ils soient économiques, sociaux ou environnementaux. La supracommunalité est ainsi un outil puissant pour renforcer la cohésion des territoires et assurer un développement harmonieux, équitable et durable, au bénéfice de l’ensemble des citoyens. En tant que moteur de cette dynamique collective, la Province devient un acteur incontournable du développement local et régional.

A la Province du Brabant Wallon, nous développerons une cellule spécialisée dans le soutien et le développement des politiques locales.

5. Un enseignement en phase avec la réalité !

L’enseignement provincial doit identifier des nouvelles filières porteuses qui répondent aux défis actuels et à venir. Proposons des métiers innovants aux jeunes

Pour une vision moderne de l’éducation, où le système éducatif s’adapte aux évolutions du monde et prépare efficacement les élèves dans un contexte marqué par des transformations — technologiques, économiques, environnementales et sociales —rapides , il est essentiel que l’enseignement ne soit plus déconnecté des réalités. Un enseignement en phase avec la réalité s’efforce de former des individus autonomes, capables de s’adapter à un monde en perpétuelle mutation, tout en promouvant les compétences techniques, sociales et humaines nécessaires pour évoluer avec succès dans la société.

La première dimension d’un tel enseignement repose sur l’adéquation entre les compétences enseignées et celles requises par l’évolution du travail. Avec la montée en puissance des nouvelles technologies, comme l’intelligence artificielle, la robotique, la data science ou encore les énergies renouvelables, il devient crucial de doter les étudiants de compétences numériques et techniques. Les métiers évoluent rapidement, et certains d’entre eux, encore inconnus aujourd’hui, seront les piliers du monde de demain. Un enseignement en phase avec la réalité doit anticiper ces mutations et offrir une formation actualisée, axée sur les compétences transversales comme la créativité, la résolution de problèmes, la collaboration et l’esprit critique.

Les méthodes d’enseignement elles-mêmes doivent évoluer pour refléter cette nouvelle réalité. L’approche traditionnelle, centrée sur la transmission de savoirs théoriques, doit être complétée par des méthodes plus interactives et pratiques. Le recours à l’apprentissage par projet, aux stages en entreprise et aux situations réelles est crucial pour permettre aux élèves de se confronter au monde professionnel dès leur formation. Ces expériences permettent non seulement d’acquérir des compétences techniques, mais aussi de comprendre les dynamiques du travail en équipe, de la gestion du temps et de la prise de décision. En intégrant des simulations, des cas pratiques, et des projets concrets dans les programmes scolaires, l’enseignement devient plus pertinent et plus engageant pour les apprenants.

L’enseignement doit également favoriser une meilleure compréhension des grands enjeux contemporains, comme le développement durable, les changements climatiques, les inégalités sociales ou encore la citoyenneté numérique. Les jeunes générations doivent être sensibilisées à ces questions, car elles façonnent déjà le monde dans lequel elles évoluent. Un enseignement en phase avec la réalité inclut des modules et des projets liés à ces thématiques, permettant aux élèves de comprendre les impacts de ces enjeux globaux sur leur vie quotidienne et leur futur rôle dans la société. Par exemple, des cours sur l’écologie ou l’éthique numérique deviennent essentiels dans un monde où la durabilité et la protection des données sont des priorités.

Par ailleurs, un enseignement aligné sur les réalités contemporaines se doit de promouvoir l’égalité des chances et l’inclusion. Chaque élève, quelles que soient ses origines sociales, géographiques ou culturelles, doit avoir accès à une éducation de qualité et être encouragé à développer ses talents. La réalité sociale exige un système éducatif inclusif, qui prend en compte les besoins particuliers des élèves en difficulté, ceux issus de milieux défavorisés ou encore les élèves en situation de handicap. L’éducation doit jouer un rôle clé dans la réduction des inégalités et la promotion d’une société plus juste, en offrant à chacun les moyens de s’épanouir et de contribuer positivement à la collectivité.

Le rôle des enseignants dans cette transformation est central. Ils doivent non seulement transmettre des connaissances, mais aussi guider, inspirer et encourager les élèves à penser de manière critique et à se projeter dans le monde qui les attend. Pour ce faire, il est indispensable que les enseignants eux-mêmes soient formés aux nouvelles méthodes pédagogiques, aux outils numériques et aux réalités du marché du travail. La formation continue des enseignants devient ainsi un levier essentiel pour que le système éducatif puisse évoluer en phase avec la société. Les enseignants doivent être à l’aise avec les nouvelles technologies, capables de les intégrer dans leurs cours, et avoir une vision claire des compétences que les élèves devront maîtriser dans leur vie professionnelle future.

Un autre aspect important de l’enseignement en phase avec la réalité est l’ouverture internationale. Le monde d’aujourd’hui est globalisé, et la capacité à comprendre et interagir avec des cultures différentes est devenue une compétence clé. Apprendre plusieurs langues, comprendre les enjeux géopolitiques mondiaux, et participer à des échanges ou à des projets internationaux sont autant d’opportunités pour préparer les élèves à s’épanouir dans une société interconnectée. Cette ouverture sur le monde est essentielle pour développer l’empathie, la curiosité intellectuelle et l’agilité culturelle, des qualités indispensables dans un environnement globalisé.

Enfin, l’intégration des outils numériques dans l’enseignement est incontournable pour rester en phase avec les réalités modernes. L’utilisation de plateformes d’apprentissage en ligne, d’applications éducatives ou encore de simulateurs permet de diversifier les méthodes pédagogiques et de personnaliser l’apprentissage selon les besoins de chaque élève. Le numérique offre aussi une flexibilité accrue, permettant d’apprendre à son propre rythme, d’accéder à des ressources supplémentaires et de développer des compétences en autonomie. Toutefois, l’usage de ces outils doit être encadré pour éviter les inégalités d’accès et veiller à ce que les élèves développent une relation saine et critique avec les technologies.

Un enseignement en phase avec la réalité est un enseignement qui anticipe les besoins de la société et qui forme les élèves à s’adapter aux évolutions rapides du monde contemporain. Il s’agit de promouvoir des compétences techniques, sociales et humaines, tout en adoptant des méthodes pédagogiques modernes et inclusives. Cet enseignement prépare les individus à devenir des citoyens éclairés, capables de relever les défis de demain avec responsabilité et créativité. Pour y parvenir, il est essentiel que les systèmes éducatifs soient flexibles, en constante évolution, et en dialogue permanent avec la société et ses besoins.

A la Province du Brabant Wallon, nous développerons des nouvelles filières et des méthodes innovantes pour former les futures générations.

Deux listes, une même énergie !

Nous avons rassemblé des profils différents, aux expériences variées, issus du territoire brabançon et rassemblés autour d’une même vision, une même volonté de faire bouger les choses positivement pour les Brabançon.nes et qui ont envie de partager leur enthousiasme!

Circonscription de Nivelles

1. Thierry Meunier, 72 ans, Nivelles

2. Vanessa Colignon, 35 ans, Waterloo

3. Bernard Löwenthal, 55 ans, Genappe

4. Marylou Homs, 74 ans, Braine-L’alleud

5. Grégoire Chrissantakis, 60 ans, Waterloo

6. Claire Lebon, 55 ans, Braine-le-Chateau

7. Laurent Heyvaert, 40 ans, Tubize

8. Justine Meunier, 47 ans, Ittre

9. Pascal Druart, 54 ans, Villers-la-Ville

10. Christine Vandergheysn, 52 ans, Tubize

11. Olivier Fiévez, 47 ans, Genappe

12. Johanna Boudart, 40 ans, Braine-L’alleud

13. Marc Verkoyen, 69 ans, Rebecq

14. Cathy Miele, 49 ans, Villers-la-Ville

15. Yanis Bouhembel, 22 ans, Nivelles

16. Sophie Vanden Bossche, 40 ans, Ittre

 

CIrconscription de Wavre

1. Sophie Agapitos, 55 ans, Orp-Jauche

2. Michaël Guerlus, 49 ans, Chastre

3. Siska Gaeremyn, 63 ans, Beauvechain

4. Amaury Vinogradof, 24 ans, Ottignies-Louvain-la-Neuve

5.  Hélène Morciaux, 37 ans, Ramillies

6. Stéphan Laloux, 58 ans, Walhain

7. Fabienne Petiberghein, 54 ans, Rixensart

8. Laurent Masson, 50 ans, Lasne

9. Julie Drossaert, 45 ans, La Hulpe

10. Abdou Diop, 63 ans, Ottignies-Louvain-la-Neuve

11. Anne Verast, 42 ans, Wavre

12. Etienne Cools, 59 ans, Perwez

13. Delphine de Sauvage, 30 ans, Mont-St-Guibert

14. Sylvain Bertrand, 73 ans, Jodoigne

15. Cecilia Torres, 79 ans, Ottignies-Louvain-la-Neuve

16. François Ruelle, 45 ans, Wavre

17. Christine Absil, 50 ans, Chaumont-Gistoux

18. Joachim Romain, 36 ans, Ottignies-Louvain-la-Neuve

19. Marianne Saenen, 74 ans, Ramillies

20. Michel Tricot, 65 ans, Court-St-Etienne

21. Hélène Ryckmans, 65 ans, Chastre

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